Psychophysique

Last update 31/03/2013

Les secrets du cerveau. Une nouvelle théorie.

ATTENTION! Les pratiques décrites dans les prochains paragraphes sont sournoises et très dangereuses, pour soi-même et pour l’environnement, il est conseillé de l’utiliser seulement avec la supervision de un groupe des experts.

Excusez-moi pour mon Français.


Préface

Celle-là qui suit c’est une nouvelle théorie sur le fonctionnement du cerveau qu’il n’a pas encore été prouvé scientifiquement. Ces études ne veulent pas renier les théories officielles, mais ils les englobent dans une théorie plus générale, qui comprennent aussi des philosophies et des disciplines maintenant exclues par les théories officielles et ils donnent leur une explication cohérente. La publication de ce matériel veut être un moyen pour chercher l’aide de la communauté scientifique pour chercher de la démontrer officiellement et pour se consulter sur elle.

Je ne suis pas un spécialiste du secteur et je m’excuse si je ne serai pas assez précis dans l’utilisation des termes scientifiques et dans la description de la théorie.


Avec le terme « psychophysique » j’entendrai la discipline qui étude les phénomènes du cerveau et du corps humain, avec l’utilisation des instruments propre à les mathématiques et à la physique. Le terme psychophysique existe déjà avec une autre signification, mais il rend bien l’idée de comme la physique du corps humain agisse sur la psyché. Un autre terme correct il pourrait être « psychophysiologie » et il existe aussi.


Ce que j’irai à illustrer de suite est considéré normalement un phénomène humain « absolu » qui fait partie de la croissance, nécessaire pour entrer dans le monde des adultes inévitable et irréversible, quelqu’un tout bonnement cherche de le refouler, mais il n’est pas inévitable et le processus c’est réversible. Le phénomène auquel je me réfère c’est l’activité sexuelle, dont on considère décrochés les dimensions mentales et physiologiques, mais il ne serait pas comma ça, comme il ne serait pas égal pour tous la résistance à tel besoin primaire, parce que chacun naîtrait avec une résistance au stress sexuel différente et dès sa naissance le phénomène serait pareillement tant psychologique que physique, avec un graduel raidissement du caractère e du corps de chaque personne (à travers le système nerveux), mais il est possible amorcer un processus inverse de « nettoyage intérieur » que au contraire pourrait étendre esprit et corps.


Cela que normalement on indique comme libido, énergie spirituelle, énergie intérieure, énergie psychique, force mentale et ainsi de suite, correspondrait à la capacité de résister aux effets de la névrose sexuelle (qu’ils existent abstraction faite de une activité sexuelle plus o moins volontaire) Je pense qu’il soit maintenant prouvée par le sens commun que comme ça existent des gens fortes physiquement, puissent exister des gens « fortes » mentalement, dont le paramètre pour mesurer la force et la capacité de maintenir un équilibre mentale n’est pas la force physique, mais la résistance aux stress quotidien en tu ses formes.

De suite, à la place du terme « libido » j’utiliserai des synonymes comme énergie spirituelle, énergie intérieure, énergie psychique, énergie mentale, force mentale, et cætera.


Si on poursuive sur l’analyse des ces études on peut aussi arriver à une explication cohérente des deux différentes visions de la psychologie de Freud et Jung, qu’ils ne serait pas que les deux faces de la même médaille.


Cette théorie ne nie pas, ni ne veut pas remplacer les résultats obtenu en psychologie (neurosciences) et médecine du monde académique, que au contraire il pourrait trouver dans elle une explication simple et cohérente aux phénomènes étudiés jusqu'à maintenant, surtout à ces qui n’ont pas encore une solution.

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Théorie

Fondements

Les idées pivot de cette théorie on les peut résumer avec les deux points suivants :


  1. Chaque être humain naît avec une certain résistance au stress sexuel, qu’il n’est pas directement associé à l’activité sexuelle, mais dans quelle mesure elle arrive à modifier le caractère du sujet et en particulier à « le raidir » ; le raidissement des différents zones du cerveau serait d’ailleurs directement uni, à travers le système nerveux, à les différents parties du corps qu’elles contrôlent. Donc le sexe aurait aussi une fonction régulatrice de la rigidité cérébral : plus grande c’est la dépendance sexuelle, plus grande serait la rigidité, plus petit la dépendance sexuelle, plus petit la rigidité (mais ça il n’est pas directement associé à la quantité de activité sexuelle). La rigidité implique rigidité sur ses propres positions et sur les variables du milieu ambiant, donc on arrive à un extrême de ses propres caractéristiques et de celle-là reçu par l’environnement (ça ne signifie pas forcément attitudes violentes, qu’ils pourraient au contraire entraîner aussi en altruisme et sainteté).

    La rigidité augmente de plus le numéro, la vélocité e la rigidité des « connexions » à l’intérieur du cerveau, qu’il pourrait paraître un élément positif, mais que au contraire il faut le prendre comme un train hors de contrôle lancé à folle vélocité ou un ordinateur overclocked.


  2. Une ultérieure fonction du sexe c’est des « enregistrer » la situation de l’environnement, ça toujours pour permettre la survivance de l’individu e donc de la espèce, probablement il était un méthode d’apprendre utile en une époque primitive, une époque dans laquelle on devait apprendre rapidement à survivre (il n’y avait pas le temps objectif pour une instruction prolongé de type scolaire): ce phénomène, qui c’est différent pour chacun, s’active toujours en conditions d’extrême et prolongé stress. Probablement peut être généralisé à toutes les espèces vivantes de la planète.

Mais entrons maintenant un peu plus dans les détails de la dynamique du cerveau né de ces études...

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Le Quotient Sexuel (QS)

Je commencerai avec l’introduction de une nouvelle variable défini en cette manière :


QReSS = Quotient de Résistance au Stress Sexuel

ou équivalent

CRess = Coefficient de Résistance au Stress Sexuel

mais plus simplement j’utiliserai

QS = Quotient Sexuel


avec elle on entendra la quantité de stress sexuel supportable au moment de la naissance avant que commence un déséquilibre mentale, avec des conséquences auxquelles je ferai allusion de suite, mais qu’ils sont déjà connus par la phénoménologie scientifique. La mesurage de cette variable indiquera jusque auquel point pourra arriver le déséquilibre de une personne e les conséquences par lui produites.

Cette variable pourra assumer des valeurs comprises dans l’intervalle (0 ; 1), avec les extrêmes exclus, parce que il n’y a pas une limite inférieure ou supérieure à ce paramètre, donc

0 < QS < 1

À valeurs de QS qui tendront à 0 on associera une plus petit résistance aux effets du stress sexuel, alors que à valeurs qui tendront a 1 on associera une plus grand résistance aux effets du stress sexuel.

Donc,

  • pour petit valeurs de QS,       QS => 0       plus petite résistance aux effets du stress sexuel
  • pour grand valeurs de QS,     QS => 1       plus grande résistance aux effets du stress sexuel

(Dans la réalité l’intervalle des valeurs de ce paramètre peut être défini arbitrairement).


Le valeur du Quotient Sexuel tout seul cependant il ne suffira pas à indiquer les conséquences du déséquilibre mentale, car il faudra encore considérer les variables du milieu ambiant (parcours humain de l’individu), qu’elles sont fortuites : abstraction faites de valeur du QS en effet, le stress déterminé par les conditions ambiantes peut influencer, même si avec des effets et intensité différents, tant une personne avec une grande résistance aux effets du stress sexuel, que une personne avec une petite résistance aux effets du stress sexuel.


Approfondissement. Le quotient sexuel (QS total ou général) est in réalité une composition homogène ou non pas homogène des plus QS (spécifique), pour différentes zones du cerveau : compositions homogènes donnent caractères plus défini et « encadré », compositions moins homogène donnent des caractères plus complexe. On peut y avoir de la syntonie, cohérence et harmonie entre le divers QS ou des contrastes, incohérences et inharmonies intérieures. Ça existe enfin une hiérarchie entre le différent QS (pour exemple le QS du « centre directionnel » c’est plus influent et prédomine sur le caractère des autre QS).

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Le Quotient Sexuel (QS) et la répression sexuelle

Si on approfondit ultérieurement le phénomène, pendant l’activité sexuelle et surtout dans les instants suivants à l’orgasme, le cerveau est fortement suggestible, presque « hypnotisables » et sur ces suggestions il y a dans les heures e les jours suivants un raidissement, si on vient dépassé le niveau de QS (la suggestion est proportionnel à la résistance sexuelle qu’il vient du QS lui-même, propre de chaque être humain). Dans le cas on dépasse le QS, donc graduellement le système nerveux et les organes à lui connexes se raidissent, en manière plus ou moins imperceptible selon le QS possédé. Ce phénomène serait à la base du développement caractériel de chaque individu et des toutes les pathologies liées à cette sphère. Puis du moment que, comme déjà dit, chaque être vivant naîtrait avec une certain résistance au stress sexuel, divers pour chacun, quelques-uns plus émotives et plus faibles par lui se raidiraient en manière accentuée dès la naissance (si non avant), alors que d’autres plus fort encourraient en ce mécanisme seulement avec le début de une relation sexuelle avec un partenaire ou soumis à un stress beaucoup intense et durable.

On peut dire les mêmes choses en autre manière, quand le cerveau ne supporte plus les effets du stress sexuel entre en souffrance et on commence un déséquilibre qui se autoalimente, l’activité sexuelle (volontaire et/ou involontaire) fait fonction de catalyseur pour l’autosuggestion du sujet (en particulier l’orgasme et les instants suivants), qui porte entre lui et métabolise se propres émotions, avec un raidissement sur elles, un raidissement des neurones, de communications entre les neurones et des activités du corps par elles gérés (pour exemple, avec l’inhibition de production des substances qu’elles permettraient de maintenir la sérénité, comme la sérotonine, la dopamine, la ocytocine, que augmentera en conséquence l’anxiété, que le sujet pourra après plus ou moins sublimer, qu’il fait partir l’auto alimentation). Commence en cette manière une douleur, une pression par la dépendance sexuelle toujours plus grande qu’elle non (te) laisse plus vivre, la prétendu « idée fixe » du sexe, mais aussi le « démon » pour une certaine activité, qu’il amène doucement se propre caractéristiques à se extrêmiser et dégénérer.


En certains cas la structure rigide crée reste latent même pour des années, en attendant qu’il arrive un élément déchaînant que la déforme, et ça créera des évidentes difficultés au sujet que jusqu’à ce moment avait réussi à la « supporter ». On pourrait faire un comparaison entre les concepts des la physique, Energie Potentielle et Energie Cinétique, e ceux-là de la psychophysique, « Stress Potentiel » et « Stress Cinétique » .


La perception de la réalité dépendrait donc au débout du niveau de QS (des QS) et après par les effets du stress sexuel qu’ils viennent des expériences de vie. De plus du moment que le QS Total c’est une composition de plus QS Spécifiques, pas seulement les points de vue changeraient selon les gens, mais aussi à l’intérieur des personnes elles-mêmes.


Tout ça il a une raison d’être qu’il va cherché toujours dans la fonction primaire du sexe, la survivance de l’espèce : en effet si l’orgasme en conditions normales il a comme conséquence le plaisir et la tranquillisation du sujet, et avec un intervalle de 2-3 jours entre l’activité sexuelle permit l’accroire des sentiments d’amour, en conditions de stress (qui comprend aussi quand on n’utilise pas se propre rêveries sexuelles) au contraire l’orgasme a fonction de survivance parce que il « mémorise » l’état dans lequel on se trouve, la situation pleinement et le cerveau se raidit sur ces informations pour affronté, avec plus grande concentration, les moments dangereux pour chercher de préserver l’individu. Ce cumuler de raidissement était une arme de défense nécessaire dans un monde primitif et bestial, ou il fallait apprendre avec vitesse à survivre, mais que dans la société actuelle, il devient source de dangers, puisque il amène avec le temps à voir la réalité en manière déformé, avec toujours plus grande méfiance et ennemie ou il n’y a pas, même parce que il n’est pas possible épancher ses propres instincts animalesques. De plus ces conditions étaient et ils sont encore nécessaires pour la cour dans la espèce humaine parce que « il font faire tout pour avoir une femelle (ou un mâle) », même si on ne l’aime pas, surtout montrer intérêt pendant la cour, le montrer (un cerveau relaxé et satisfait se mit moins en montre pendant la cour).


Je termine cette partie en approfondissant mieux qu’est-ce que signifie la suivant affirmation mentionné dans le fondements :

  • « La rigidité augmente de plus le numéro, la vélocité e la rigidité des « connexions » à l’intérieur du cerveau, qu’il pourrait paraître un élément positif, mais que au contraire il faut le prendre comme un train hors de contrôle lancé à folle vélocité ou un ordinateur overclocked.»

Ça implique d’abord une augmentation graduelle de la « quantité de masse cérébrale utilisé dans le même temps chaque instant de sa propre vie ». Plus grand sera cette quantité, plus grand il sera le stress au-dessous lequel on viendra continuellement soumis, même si on ne fait rien, et plus grand il sera aussi le niveau de émotivité et morbidité. Pour tenir sous contrôle cette quantité sera aussi nécessaire beaucoup d’énergie et ça produit de gens très tendues et nerveuse et donc soumises par un cercle vicieux à un stress continu, même parce que cette situation amène aux états de faiblesse psychologique qu’elle créaient une dépendance par les autres, dont on cherche toujours l’approbation, prêt à négliger ou renier se propre besoins pour la obtenir.

De plus quand on change la masse cérébral utilisé dans le même temps en chaque instant et donc le niveau de stress auquel on est soumis continuellement (même sans des agents extérieur), changeraient des autres paramètres : réaction aux stimulus (ou encore mieux, la vitesse de réaction, en effet avec le raidissement des canaux de communication changent le temps de réponse aux stimulus), niveau de colère, méfiance, peur, nausée, étouffement, claustrophobie, zone du corps où on peut avoir de pathologie lié au stress, niveau et type de intelligence développé et en conséquence différentes niveaux de risque des accidents.

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Le Quotient Sexuel (QS) et le Quotient d’Intelligence (QI)

Après lequel qu’on a dit jusqu’à maintenant on comprend par intuition que selon le QS et donc la résistance aux effets du stress sexuel et au suivant raidissement, on peut vivre en différentes dimensions mentales, on pourrait dire pour niveaux discret, en substance une quantification du QS (dei livelli del sesso). (des niveaux du sexe). On s’est aussi dit que le divers points de vue humains changent comme ça change le QS Total o les QS Spécifiques possédés, par qu’il vient le degré de capacité de comprendre les autre et les environs.

Ça signifie en définitive que par le QS dérivent tous les types d’intelligence et donc le Quotient d’Intelligence (QI).


A ce point une question naît naturellement : pourquoi doter les être vivant des différents Quotients Sexuels ? La raison est toujours à chercher dans la survivance de l’espèce : avec des différents QS, on a des différentes points de vue pour affronter des difficultés (il faut penser à les hommes primitives) et de plus, les différentes névroses produit par des différents QS permettent de « se tenir sous contrôle » l’un à l’autre.

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Les 3 principes de la dynamique du cerveau (malade)

Maintenant presque la même manière des 3 principes de la dynamique de la physique, on peut énoncer les suivants 3 principes de la dynamique du cerveau (malade), qui bien résume les conséquences fondamentales de un déséquilibre mentale.


  1. Un cerveau persévère dans l’état de « repos » ou de « mouvement » dans lequel il se trouve, à moins que quelque agent n’agisse sur lui, et ne le contraigne à changer l’état.

    Exemples d’états : état de sommeil, état de veille, solitude, désir sexuel, rêves sexuelles, et perversions.

    En tous ces cas, en un sujet névrotique, il y a une opposition au changement.

    Exemple des agents :     agent intérieur, force de volonté;

                                           agent extérieur, lumière du matin, contact avec des autres personnes.

    Plus un cerveau sera malade plus grand sera sa inertie et sa opposition au changement.


  2. Comme calculer le niveau de « inflammation du muscle du cerveau ».

    Soit un cerveau de Quotient Sexuel QS : les effets du stress subie par ce cerveau sont inversement proportionnelle à son quotient sexuel QS, et proportionnelle à l’intensité du stress et au temps.

    fr_01_Formula_effetti_stress_sul_cervello_01

    L’ « intensité du stress » comprend aussi les variables ambiantes (milieu familial, milieu local où on vit, activité sexuelle de couple qui augmente beaucoup l’intensité du stress à tous, et cætera) qu’elles peuvent assumer aussi bien un valeur positif que un valeur négatif, donc

    Intensité du stress = Variable ambiantes + Stress additionnel

    Stress additionnel = Stress additionnel au stress ambiant, stress plus ou moins temporaire (école, travaille, accidents, privations, choc, …)


    ça signifie que,

    fr_02_Formula_effetti_stress_sul_cervello_02

    Entre les effets du stress sur cerveau il faut rappeler l’augmentation de la quantité de masse cérébrale utilisée dans le même temps en chaque instant de la vie pour maintenir la structure crée avec le raidissement.


  3. Pour chaque action, il existe une réaction égale et opposée: cette réaction peut être exprès tout suite ou resté latent en manière plus ou moins permanente (en attendant quand même un élément détonant). Tout ça dépend par la capacité de nouvelles élaborations du sujet c’est-à-dire par son QS.
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Le Quotient Sexuel (QS) et l’inconscient

Dépassé le QS commence la répression sexuelle, les changements se produisent doucement et graduellement, les plus importants pendant le sommeil et c’est très difficile on se rend compte car il vient attaqué notre centre du contrôle primaire, le cerveau (dans un rapport sexuelle normal on s’en rend compte seulement quand il est trop tard et on n’arrive plus a comprendre parce que son propre caractère il est changé en cette manière, l’on impute à l’amour et en substance on ne peut plus revenir en arrière). La répression sexuelle produit une douleur constante et continue dans la tête (dépendance sexuelle) et elle est cette accoutumance au douleur continue (que on arrive à se ne rend plus compte) que produit folie, tension, méchanceté et difficulté à distinguer entre lequel qu’il donne des bons fruits et des mauvais fruits (le bien et le mal). De plus la répression sexuelle amplifie la suggestibilité à 360° et n’importe quel chose, action, image, son, pensée, et cætera c’est vécue avec une plus grande émotivité (cette observation c’est très important et je la définirais la clef de voûte pour comprendre la mutation, altération de l’individu). La tête se unit tout ensemble avec le corps et le monde extérieur, ainsi le sujet devient un réceptacle des sensations qu’il les transforme en émotions et vice versa. Du moment que l’état émotionnel du patient est-il altéré, ça signifie que ses mots et ses pensées ne représentent pas c’est vrais mots, c’est vrais pensées, son vrai caractère, c’est tout un « faux » du à la « sur écriture » des données originales à travers la répression sexuelle, des données qu’il reste enterrées en attendant d’être déterré. Toujours graduellement on se développe comme ça une nouvelle personnalité qui entre en concurrence avec celle-là originale jusqu’à la faire devenir subalterne (on peut faire une analogie entre cette personnalité concurrente et la programmation concurrent en informatique) et plus on s’aggrave la maladie plus on s’augmente le pouvoir de cette nouvelle partie, qu’il se base sur des pensées du caractère original ou sur des concepts qu’il vient da l’extérieur et qu’il vient mémorisé en manière permanent (ça représente une déformation du caractère original avec l’union des concepts qu’il viennent du monde extérieur, donc des pensée casuelle, qui fortuitement se fixent et deviennent « loi ». La personnalité concurrente ou partie malade croit en cette manière de voir et comprendre des choses que les autres ne peuvent pas voir ou comprendre (folie), graduellement elle devient toujours plus obsessionnelle et se fixe sur quelques pensées particuliers et elle commence comme ça à chercher d’interpréter, lire entre les lignes des choses qu’ils peuvent dire seulement des gens autant malades et débiles, qu’il n’arrivent plus à jeter les choses à la face de quelqu’un, si non comme un soulagement névrotique. A la même manière on cherchera de lire dans les événements qu’ils arrivent des signes de une volonté supérieure. Cette névrose sexuelle prendra de toute façon des chemins différents pour chacun, parce que c’est différent le QS et la vie de chacunSi on ne satisfait pas les besoins primaire on favorise encore plus la répression sexuelle.


Si on veut on peut représenter lequel q’on a décrit jusqu’à ce moment avec un schéma

fr_03_Cervello

La phénoménologie est la suivant :

  • le point du lobe droit où on éprouve la douleur de la répression sexuelle (une douleur continue et qui bat; lobe droit, pas loin da la ligne au milieu qui délimite les deux lobes et peu dessous de la front) c’est le point où on a l’origine le phénomène global provoqué par le stress excessif ;
  • la répression sexuelle augmente le re-cercle malade des informations (c’est presque comme une litanie mentale) et le volume du cerveau raidi (avec les correspondants zones du corps associées), une zones où l’énergie psychique ne peut pas se répandre librement, mais elle doit suivre de parcours obligés, raides, à court-circuit ;
  • l’augmentation des zones raidies et le persister du re-cercle des informations a cause de la forte tension à laquelle on est soumis (on peut faire l’analogie avec un cycle infini en informatique) et/ou un fort choc, force un bloc psychologique dans la zones du cerveau député a maintenir la concentration, comme un grumeau dans le cerveau, mais c’est aussi une bonne analogie celle-là de la structure à araignée.

    Où on se forme le bloc (au milieu de deux lobes, peu dessus de la front) on commence à éprouver un élancement éternel: le bloc c’est une région de confinement, concentration de la libido (amour, énergie spirituelle, impulsion électrique), qu’elle voudrait se répandre en chaque direction du cerveau, mais du moment qu’elle ne peut pas, elle produit de la frustration, violence, dépression (c’est naturelle que tout le cerveau veuille prouvé, qu’il ait besoin de prouver le plaisir sexuelle, sens de liberté). Une analogie qui peut aider à comprendre la sensation c’est celle-la de venir fermé dans un débarras, donc un sens de claustrophobie et de oppression, qui on cherche d’éliminer avec une destruction violente du « mur » qu’il s’est formé : quand même en cognant la tête contre un mur réel et donc en se défoulant à l’extérieur ou en la sublimant à l’intérieur et comme ça un des gestes typiques des gens atteintes par le bloc psychologique devient celui-là de se toucher juste où il y a le bloc (comme si on veuille entrer dans le cerveau avec un ongle pour séparer les deux lobes du cerveau en ouvrant le bloc), « cette élancement qui fait battre le cerveau, cette douleur dans la tête que personne comprend et qui te fait avoir honte ». Mais malheureusement on n’est pas avec la violence qui on peut éliminer ce « mur », mais seulement avec des autres capacités comme la calme, la patience, la sagesse et des capacités analytique.

    Une autre analogie très important qu’il peut aider à comprendre la sensation que on éprouve c’est la suivant : la zones du cerveau sujette au bloc donne la sensation de la piqûre de un insecte ou ressemble au corps de une araignée dont les pattes sont les ramifications « raides » de la répression sexuelle dans les différentes zones du cerveau ; le bloc psychologique a en effet une forme très précise, un corps central raide, dans la partie médiane au dessus de la front, qui ressemble une exosquelette de une araignée (le bloc donne en effet la sensation de avoir une écale protectrice comme une noisette, très dure) où convergent les communications neuronales « raidi » comme des filaments, qui ressemble à les pattes de une araignée. Le cerveau associe cette phénoménologie avec celui-là qu’il connaît par la vie quotidienne, araignées et insectes, que souvent au dessous de la répression sexuelle ils deviennent ainsi sujets des rêves nocturnes, mais ça peut aussi ne pas arriver parce que pendant l’état de veille on sublime le rêve en rêvant exactement sur les insectes. La sensation enfin c’est celle-là de un insecte dans le cerveau ;

  • quelques effets de la répression sexuelle sur le corps humain peuvent être pour exemple :
    • raidissement du nerf optique et la conséquente altération de la vue ;
    • raidissement du nerf acoustique et l’altération de l’ouïe ;
    • raidissement du nerf nasal et altération des capacités olfactives que s’unit à celui-la de la cage thoracique en créant des difficultés dans la respiration, facteur qui produit beaucoup des autres symptômes, entre lesquels très important c’est l’anxiété, exactement a cause de la sensation d’évanouissement de l’air et de la compression du sternum. En réalité l’expansion peut elle réussir, mais en manière qui n’est pas naturelle et avec un certain effort ;
    • raidissement des muscles
    Des autres symptômes et effets de la répression sexuelle viendront traités à part.

Naturellement le maintien de cette structure artificiel exige énergie, toujours plus énergie, qu’elle vient soustraite au sujet qui s’affaiblit (avec des effets psychophysiques) en entrant en un cercle vicieux de lequel c’est difficile sortir. Chaque orgasme réduit l’énergie psychique et sans des pauses on va encontre à al dépression (qu’elle peut assumer des formes différentes selon le caractère, plus violent ou plus auto dépressif), mais la même chose peut arriver si on ne satisfait pas le besoin sexuel correctement et pour de longes périodes, surtout si on est au dessous de stress.


Donc l’activité sexuelle, au-delà de la activité reproductive, elle aurait un autre but pour la survivance de l’espèce, celui-là de mémoriser les variables ambiantes où le sujet vit (ça il était utile surtout entre les hommes primitives) et aussi j’ajouterais une fonction de régulation sociale, car quand un être vivant perd le contrôle sur lui-même ce effet le conduit graduellement à la mort, à travers des maladies que le cerveau mal fonctionnant produit ou à travers le mal qu’il fait tout autour de lui.


Naturellement si la répression sexuelle prend ou non, dépend de différents facteur :

  • quantité de résistance au stress sexuel (QA), paramètre caractériel qu’on a de la naissance ;
  • variables ambiantes, stress quotidien et sa durée dans le temps (le même effets on peut l’avoir avec une basse résistance au stress sexuel et un bas stress quotidien ou avec une haute résistance et une haut stress quotidien qui dure dans le temps).

Donc les effets peuvent dépendre soit du sujet, soit du monde tout autour à lui, de un seul élément ou de tout le deux, mais le sujet sera de toute façon toujours présent).


Une des comparaisons qui mieux explique le phénomène de la répression sexuelle c’est celle-là de la « pelote de laine » qui se mouille : une fois sec le fil se raidit et il est moins flexible, moins « adaptable », de plus si le pelote se embrouille devient encore moins flexible et si on tire son fil, en chaîne ils viennent tirés des autres qu’ils ne sont pas reliés avec le premier, si non parce que il son lié ensemble (ça ce sont les réactions irrationnelles). La thérapie permit de défaire les nœuds qui se sont formé et permit au fil de redevenir aux caractéristiques physiques du départ (flexibilité et adaptabilité) en éliminant ou mieux en re-équilibrant la personnalité concurrente qu’il s’est formé. Pour améliorer la comparaison on peut imaginer un « petit bonhomme » (âme, esprit, libido, énergie spirituelle) à l’intérieur du pelote qu’il cherche de se bouger dans elle, évidemment quand la pelote est moelleuse et flexible sera plus facile pour lui, au contraire après que la pelote s’est mouillé et se séché, le fil qui s’est raidit, il créera des structures où il sera plus difficile se bouger, sera nécessaire plus d’énergie pour faire les même choses qu’on faisait avant et ça on pourrait continuer jusqu’à écraser le petit bonhomme.

Une autre comparaison intéressante c’est « l’effet accordage », par lequel les nerfs du corps humain (et en conséquence les appareils qu’ils gèrent) unis à les zones du cerveau qui se sont raidi, ils se tendrent et ils se raidissent leurs même comme les cordes de une guitare en phase de accordage. Tout ça rend la psyché et le corps hypersensibles et produit des difficultés à accepter les changements, ou mieux le « désire » du maintien de l’état où on se trouve (pour exemple, sommeil, euphorie, tristesse, et cætera..) et au même temps au contraire on a des effets opposés, avec l’absence de sensibilité, méchanceté, on a veuille continuellement de nouveauté, on veut toujours plus de celui-là qu’on a, en substance schizophrénie.


Pour le moment je m’arrête ici, mais il est possible aussi de…

  • « réaliser » une répression sexuelle pilotée (« Technique sexuelle répressive ») ;
  • « réaliser » une première simple thérapie ;
  • calculer le QS ;

Au début les méthodologies seront rudimentaires et approximatives, mais avec le passer du temps elles se pourront améliorer.

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Explications conséquentes à la théorie et nouveaux domaines de recherche

Avec ce modèle on peut expliqué beaucoup des phénomène en manière simple et claire et s’ouvrent les portes pour des nouveaux études et recherches.

Ceux-la qui suivent sont des exemples d’interprétation des différentes phénoménologies.


Explications psychologique et médicales

  • Les soi-disant « monstres » intérieur, les dépressions.
  • Le raidissement, l’atrophie et la conséquente paralysie des zones du cerveau ont comme effet la paralysie et le mal fonctionnement des parties du corps qu’ils sont connectés à elles. Quelques formes des maladies chroniques ou mêmes des infirmités qui apparaissent et qu’elles disparaissent sans une apparente motivation, au limite comme des miracles, elles peuvent être expliqué avec la variation de rigidité de précises zones du cerveau. (La même chose pourrait être vraie, dans d'autres cas extrêmes, pour les maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer ou la maladie de Parkinson? Ou de l'origine d'un cancer? Dans certaines formes de cancer, les cellules cancéreuses seraient l'expression physique de raidissement neuronale extrême).

    Ça signifie que le traitement de la répression sexuelle peut devenir un « élixir d’éternelle jeunesse ».

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Explications associées aux médecines alternatives

  • Acupuncture (Médecine chinoise, massage Shiatsu, et cætera…) : elle va à interférer sur la rigidité de l’ensemble des nerfs créé par la répression sexuelle, « en la détendant, en la relaxant », avec une conséquente temporaire calme (effet antidouleur) du douleur sur cerveau.
  • Traitements homéopathiques.
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Explications anthropologiques

  • En étudiant les effets de la répression sexuelle on peut arriver à la conclusion que les femmes naissent avec une plus petite résistance aux effet du stress sexuel (un QS plus bas, même s’elles ont un plus petite poussée hormonale-sexuelle lié au testostérone), dont elles viendraient les caractéristiques du sexe féminin, comme pour exemple : la plus grande émotivité, la plus grande nécessité de parler, l’amour de tête, le plus grand encadrement social, la plus grande importance de l’acceptation social, la plus grande disposition pour l’éducation enfantin. Il y a beaucoup de preuves, comme le plus grand nombre des fibres de connexion dans le corps calleux du cerveau, qu’ils mettent en plus grande communication les deux lobes, et ce facteur c’est un de ceux-la dus à la répression sexuel et au bloc psychologique, un pont très rigide qui se produit entre les deux lobes du cerveau. Il serait utile évaluer combien à la naissance influence le QS et la plus petit poussée hormonale-sexuelle sur le femme, pour comprendre mieux de lequel de deux facteurs vient leurs plus grand état de stress, en tout cas il y a les effets du stress sexuel et probablement plus graves que pour les hommes (en moyenne), car les femmes peuvent faire beaucoup plus de sexe avec plus petit problèmes qui le empêchent.

    Ça ne signifie pas que une femme ne puisse pas avoir un QS plus haut de un homme (affirmation de toute façon à vérifier parce que il y a aussi des différences hormonales), mais qui avec les mêmes caractéristiques caractériel celui-la des femmes sera plus bas. On peut faire l’analogie avec la force physique entre les hommes et les femmes : en moyen une femme c’est moins fort que un homme, mais ça ne signifie pas que on ne peuvent pas exister des femmes plus musclée et plus fort physiquement des hommes.

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Explications historiques et mystique-religieuses

  • L’introduction du quotient sexuel permet d’expliquer le pourquoi des certaines façons de penser et des certaines pratiques de anciennes civilisations, que aujourd’hui nous considérons barbares, archaïques et dépassé (pour exemple, la loi du talion ou les sacrifices), il n’est pas seulement un problème de plus grande connaissance scientifique, certaines pratiques e raisonnement s’activent seulement dans un état de forte et prolongée tension, enfin une vie de survivance et la explication pourrait résider dans le fait que le cerveau en cette conditions il est « condensé » en conditions enfantines, mais avec la libido de un adulte. Donc telles pratiques pourraient facilement revenir de usage commun si on fut de nouveau soumis à des très grands et continus niveaux de stress.

    Ça signifie que les hommes modernes ne pourront pas jamais comprendre complètement la manière de raisonner et de agir des hommes anciens qui pouvait accéder à des connaissances ancestrales, impossibles à atteindre en cette époque, parce que le style de vie « atrophié » l’utilise, mais au même ça à nous conduit à une harmonisation du caractère : ça ne signifie pas être supérieur ou inférieur, mais être divers, en insistant qu’il est très facile revenir a tels stades évolutifs. Comme toujours il faut humilité et équilibre, en maintenant habitudes et traditions passé positives et en écartant celles-là négatives.

    Ça signifie que en plus de l’histoire classique il y en a une autre parallèle que concerne l’évolution mentale et qui part des premiers pas de la Bible et des beaucoup des autres textes sacrés : donc les recherche historique et archéologique pourraient s’enrichir en ajoutant à leurs études l’évolution du QS.


    Textes anciens.

    Les hommes primitifs étaient soumis à des niveaux de stress très intense et durable, donc le niveau de répression sexuelle était aussi très élevé, même si jusqu’au moment du passage de nomades à permanent, avec l’avènement des règles morales pour la vie commune, il n y avait pas presque sûrement distinction entre le bien et le mal, comme indiqué de beaucoup de textes anciens (surtout religieux). Ce raisonnement devrait être applicable même aux autres espèces vivantes de la planète Terre.

    Les hommes primitifs étaient soumis à des niveaux de stress très intense et durable, donc le niveau de répression sexuelle était aussi très élevé, même si jusqu’au moment du passage de nomades à permanent, avec l’avènement des règles morales pour la vie commune, il n y avait pas presque sûrement distinction entre le bien et le mal, comme indiqué de beaucoup de textes anciens (surtout religieux). Ce raisonnement devrait être applicable même aux autres espèces vivantes de la planète Terre.

    Comme exemple d’interprétation j’en ai choisi quelques entre le premiers passages du livre de la Genèse de la Bible : la Bible et toutes les histories transmises de la nuit de temps elles seraient à interpréter comme des souvenirs sur les origines de la civilisation « moderne » permanent (au debout agricole) transmis au debout en forme orale et de un certain point en avant en forme écrite.

    Adam et Eve (ou récits similaires des autres cultures) : la « Pomme » comme geste d’amour vers les femmes. Les hommes et les femmes vivaient au dessus de une répression sexuelle (rigidité mentale) extrême, le prétendu « paradis terrestre », mais à un certain point se insinue avant dans les femmes et après par elles dans les hommes un doute, l’envie de connaissance pour une plus stable et confortable (le serpent indique qu’il a été un phénomène sournois, lent et silencieux, sans que personne en se « rendît compte »). Donc les hommes pour amour des leurs propres femmes commencèrent à poursuivre la connaissance, qui initia évidemment en changeant le style de vie, de nomades à permanent, de chasseurs à agriculteurs (le symbole de la connaissance de l’époque est représenté en effet par l’agriculture, l’arbre des « pommes », on voulait comprendre comme il faisait à donner de fruits), en faisant réduire graduellement le niveau de stress et donc la répression sexuelle, la différence on peut la voir déjà pendant le cours de une unique génération, ça suffit de penser, pour des temps à nous proches, aux changements qu’il y était après la deuxième guerre mondiale en beaucoup d’états. Donc le style de vie d’aujourd’hui il ne serait pas que la continuation de ce « originaire » geste d’amour à la recherche de la connaissance pour une vie plus stable et confortable.

    Même histoire on peut la faire pour les Evangiles, c’est aussi possible que Jésus de Nazareth, comme des autres prophètes, il ait compris les mécanismes liés au stress sexuel, même si pour l’époque ils venaissaient interprétés en clef mystique religieuse : phrases célèbres comme « Père, pardonne-leur, car il ne savent ce qu’ils font », ils pourrissaient être expliquées en cette direction : le démon au contraire, comme déjà pour les récits de l’Ancien Testament, il représenterait la partie raidie « malade » du cerveau humain.


Et cætera…

C’est possible comme ça, expliquer en manière simple et cohérente une myriade des phénomènes qu’ils viennent des domaines plus disparates en les unifiants dans une unique théorie.

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Analogies avec l’informatique :

  • la répression sexuelle c’est comme « l’overclockage » de une CPU, le système accélérer mais il se fond plus rapidement ;
  • la plus grande vitesse de réponse du cerveau (et son être aveugle), du à la répression sexuelle porte le cerveau à une exécution « multitasking » des processus mentales (programmation concurrent) : c’est-à-dire que plus processus viennent exécutés au même temps dans l’esprit de une personne. Ça n’est pas naturel et on peut le comparer aussi à une voiture qui file à folle vitesse sur une petite route ;
  • la création de la nouvelle personnalité concurrente se associe avec le sujet de la programmation concurrent. Avec le s’aggraver de la névrose la nouvelle personnalité, le nouveau processus devient toujours plus prédominant ;
  • naturellement le maintien de cette structure artificiel demande de l’énergie, toujours plus énergie, qu’elle vient soustraite au sujet qui s’affaiblit (avec des effets psychophysiques) et qu’il entre ainsi dans un cercle vicieux dont c’est très difficile sortir. Ça on le peut comparer à un processus qui s’agrandit et qui soustrait toujours plus ressources au système comme dans un cycle infini (endless loop).
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Analogie avec l’électronique :

  • on peut penser au cerveau comme à un circuit qui normalement se conduit comme un réseau électrique analogiques, mais que si on dépasse un certain seuil de stress (ΔVQS) commence à faire mémoriser les informations à particuliers neurones qui maintiennent charge le point de concentration du stress (condensateur, qui après se transformera en le bloc psychologique). Chaque neurone on peut le voir comme un fil dans un état normal, dans lequel peut ou ne peut pas passer une information, et comme une cellule de mémoire EEPROM, activé d’une façon permanente sur une information (valeur 1) dépassé un certain seuil de stress (ΔVQS).

    On pourrait pense à un neurone comme constitué par un diode et par un transistor NOMS-FAMOS : le diode active la transmission du signal électrique ΔVTI (Transmission de une Information) et le transistor peut mémoriser un signal (dépassé ΔVQS) qu’il rend permanent l’activation du diode ΔVTI (et donc la transmission de l’information) ; le niveau de ΔVQS dépend du QS du sujet en question et par l’intensité et la durée du stress (plus petit c’est le QS, plus petit sera le stress nécessaire pour activer le transistor, plus grand sera le QS, plus grand sera le stress nécessaire pour activer le transistor).

    Si on prouve à descendre un peu plus dans les détails, au stade normal le réseau neuronale se pourrait comparer à un réseau électrique dans laquelle, à les infinies connexions neuronales correspondrait autant de branches de un hypothétique circuit électrique, doués chacun de un diode polarisé ou non polarisé selon qui passe ou ne passe pas une information (signal électrique). Dans un stade normal les information, impulsions électriques, peuvent circuler ou non dans les branches mêmes, en manière de activer le passage de courant dans la branche seulement quand nécessaire (diode polarisé – passage de l’information, diode non polarisé – pas de passage de l’information). Le point du bloc psychologique au contraire peut être assimilé à un condensateur qui pendant les phases de stress, il se charge pour après se décharger quand il cesse. Quand on ne se supporte plus les effets du stress sexuel et commence le déséquilibre on peut imaginer que le diode de la branche (diode réel, avec batterie) reste constamment polarisé, avec le cathode tourné vers le condensateur : donc on aurait la continue transmission de une déterminé information, donc une pensée constante relative à une certaine information, un raidissement dans la communication déterminé à travers les orgasmes sexuels ; donc l’orgasme sexuel donnerait le signal de mémorisation, qu’il vendrait reçu par le « transistor FAMOS » contenu dans le neurone. Pendant les phases des stress le cerveau se « concentre » pour affronter la « situation de danger » et les informations viennent canalisé vers le point du bloc psychologique (là-bas il y a la zones de la concentration ?), pour être analysé, mais comme ça le condensateur se charge toujours de plus, en se déchargeant toujours de moins, car il tend de le faire seulement à travers ces branches où le diode il n’a pas encore été polarisé. Tout ça continue jusqu’à quand on arrive au bloc psychologique (condensateur toujours chargé) qu’il est un état irréversible (seulement de l’intérieur), en faisant devenir le sujet en question un peu plus un robot, parce que il ne peut plus décider complètement en manière autonome. Pour conclure cette analogie, il faut ajouter que de bas ΔVQS–ΔQS polarisent presque tout de suite les diodes-transistor-neurones (au limite avec 0, ils les polarisent tout de suite, on ne se a pas le temps de contrôler le passage et la mémorisation de l’information qui se produit pratiquement en manière automatique), alors que hauts valeurs ne les polarisent tout de suite, mais ils demandent hauts valeurs de stress pour la polarisation (au limite 1, on a le temps de contrôler le passage et la mémorisation de l’information et si l’on veut, on la fait pas passer => plus grand équilibre et résistance aux effets du stress sexuel).


    A ce point se lève le doute si l’analogie soit seulement fictive ou il y a quelque chose de plus : en effet dans une réel structure o fonctionnement des neurones, comme constitués par diodes ou transistors NMOS-FAMOS, avec une couche isolant SiO2, ça suffirait des rayons UV pour en effacer le contenu, si ils sont construits pour des mémoires EPROM ou un signal électrique dans le cas de FAMOS construits pour mémoires EEPROM.


    Ceux-là suivants sont quelques schémas électriques qui se rapportent aux analogies électroniques à peine décrits

    it_04_Diodo_e_Transistor
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Evidence scientifique

Cette théorie c’est un modèle qui comprend et explique conformément et en manière très simple la phénoménologie étudiée jusqu’à ce moment par les neurosciences, en médecine et aussi en diverses médecines alternatives, comme celle-là chinoise ou celle-là homéopathique. Elle permit aussi une explication cohérente de toutes ces disciplines associées indirectement à la psychologie, comme pour exemple la graphologie. La théorie est extensible à tous les êtres humains et même probablement à tous les êtres vivants.

De plus ça existe la possibilité de dérouler quelques simples expériences pour la prouver en manière directe.


Ça s’est seulement la point de un iceberg…

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Déposé à la date, 12/04/2013